Moi Kayla Deluna enfant du Texas, puis habitante du New Jersey mais encore nouvelle de New York, j'avais trouvé un rythme à ma vie. Idéale. Mes résultats - toutes matières confondus - s'annonçait excellente, la Psychologie et moi est une grande histoire d'amour, dès mon plus jeune âge, je savais ce que je voulais faire ce qui avait l'effet de surprendre mes parents... Mais faut les comprendre, ne seriez vous pas étonnez, d'entendre de la bouche de votre fille âgée de 11 ans - à cette époque - que mademoiselle voudrais être Psy'. Ma vie se disait génial, de plus, figurez vous que mon chère et tendre EX copain et redevenu mon petit ami. A croire que voir et entendre un homme pleurer les excuse de tout - les femmes trop gentilles ? - . A New York, j'ai rencontré énormément de personnes, tout autant intéressante, chaque personnes et amis avait une place dans mon carnet, vous me direz quel carnet ?. Un petit carnet en couverture à cuir noir et au allure plus ou moins d'un petit cahier ou journal intime, ou j'inscrivais et étudiais chaque personne, tout ce qu'ils me disaient était retranscrit de ce carnet puis étudier. Ce cahier m'aura fait toute ma vie par manque de place au bout d'un moment, j'y glissais des feuilles pour en faire en épaisseur une véritable encyclopédie. Je portais à mes amis un grande intention et écoute, chacun avaient des problèmes plus ou moins important, je les écoutais ... longuement, sans même traverser une période d'ennuis à force de les écoutés, non j'étais complètement passionnées et transporter dans la vision de leurs problèmes. Ghandi disait : La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre. j'étais en total accord avec ce que disait cette citation, je me l'auto appliquais et par la suite de mes études essayerais de l'apprendre aux autres. Si j'avais un conseil à donnée au monde entier ce serais d'appliquer cette citation, car avant de voir nos problèmes et s'engouffrer dedans, ne faut il pas mieux, passez au dessus et vivre et laisser passer nos problèmes, moins on possèdes moins on désirs ... plus le bonheur ce ressent....

Je quittais la Bibliothèque, pour m'installer à un banc dans central park, je continuais d'écrire sur des feuilles qui par un futur proche se retrouvais parmi les 1000 autres dans mon carnet.

J'étais dans Central Park, j'aimais y aller malgrès une fraicheur qui se sentait dehors elle était tout de même agréable. Qui plus est pas un brin de vent dehors ce qui était d'autant plus agréable.

Toujours mon I-Pod sur les oreilles, on ne change pas les bonnes habitude, écoutant de nouveau -du moins pour moi- artiste français. Quelques recherche m'avait apris qu'ils fasaient partis d'un Opérah Rock, assez ingénieux et peu connu de mes oreilles. Mais j'aimais le rythme.

Je vis Kayla au loin griffoner des feuilles, je ne l'avais vu que peu de fois, croisé de temps à autre mais pas vraiment parler. C'était peut être l'occasion !

Je m'avançais doucement vers elle, enlevant un de mes écouteurs :