f • Claire De Jong is Candice Bridges

« Candice Bridges »

feat. Claire De Jong

NAISSANCE : 5 juillet 1994 à Amsterdam, Pays-Bas.
MÉTIER : J'ai arrêté mes études à l'âge de 15 ans lorsqu'une femme nommé Alana King m'a demandé si j'avais un jour rêvé d'être mannequin. La réponse était évidente, bien sur que oui ! Je n'aspirais qu'à la mode. Depuis ce jour j'ai été à Londres dans les plus grand défilé, à la semaine de la mode à Paris. Je suis devenue rapidement un mannequin apprécié pour la douceur de mon visage. Karl Lagerfeld me pris sous son ailes, je fus en quelques sorte sa petite protégée. Je suis ensuite partie à New York dans une autre agence, j'ai rapidement connu les mauvais coté du métier jusque là inconnu pour moi, drogue, alcool, soirée tel était devenu ma vie. Bien sur j'étais toujours modèle, mais le travail manquait cruellement et l'agence s'en ai rendu compte. Mais c'est derrière moi et désormais je suis dans l'agence de Tryst mais surtout clean.
PARTICULARITÉ : Je suis grande avec de très longues jambes, en plus je porte toujours des talons d'au moins 10 centimètres. Je suis fine, normal vu mon métier, je ne suis pas non plus anorexique mais simplement fine de nature, je peux manger des tas de bonbons, du chocolat, je ne grossis pas.

« Caractère »

Je suis très exigeante, j'ai beau être jeune je sais ce que je veux que se soit pour moi où les autres. Mais je dois parfois m'éteindre surtout dans mon travail, j'évite de parler pour en pas dire des choses qui ne se disent pas. Après tout, les créateurs pour qui je travaille ne veulent pas une femme mais un cintre ou un mannequin en plastique vivant. Il faut juste apprendre à se taire et rester souriante en toute circonstance.

« Montres-moi qui tu es »

• mon enfance • Comme toutes les filles je pense, je rêvais à mon prince charmant. Je me voyais telle une princesse dans mon déguisement. Je prenais le maquillage de ma mère et me maquillais, me coiffait des heures pour me faire des dizaines de coupe différente. J'adorai faire les magasins avec ma mère elle aussi une accro au shopping qui pouvait ce le permettre après le décès de mes grands parents dont la fortune s'estimait en millions d'euros. Je vivais dans leur maison au Pays Bas, beaucoup mieux que notre petit appartement dans une banlieue à coté d'Amsterdam.

• mon adolescence • Alana King a changé ma vie et mon adolescence. Elle m'a permis de voyager d'apprendre de nouvelle langue, de voir le monde du haut de mes talons. J'ai découvert énormément et appris encore davantage. Lorsque je suis arrivée à New York j'ai connu de mauvaise personne qui avait une mauvaise conduite. N'ayant jamais vraiment profiter de ma vie depuis que j'étais mannequin je croyais me libéré et vivre. Mais en fait je n'étais qu'un mouton devenu accro au drogue et à l'alcool. On croit toujours que ça n'arrive qu'au autre, mais s'est faux. Je me suis rendu compte que ma vie ne tournais plus rond lorsque je perdis contrat, soutiens puis travail. Je me sentais si mal. Puis j'ai rencontré quelqu'un qui changea ma vie, cette personne me permis de relever la tête et d'être enfin quelqu'un de bien. Trois mois de rehab et j'étais à nouveau sur pied. Dans une nouvelle agence où j'ai eu à nouveau des contrats, de l'argent et des amis.

• mes amis, mes amours • J'ai des ami(e)s mais il m'est dur de savoir s'ils le sont vraiment ou s'il ne s'intéresse à moi que pour ma popularité grandissante. Néanmoins je profite et leur fait confiance. Il y a autour de moi quelques mannequin mais peu, nous recherchons souvent le même travail, nous postulons pour les même créateurs alors cette compétition et cet environnement féminin n'est pas le meilleur endroit pour trouver de vrais amies.