Voilà, que je quittais l'homme que j'aimais, mais larmes coulaient comme la pluie coulant sur les vitres d’une voiture. Mes joues perler par ces larmes, était humide et rose par le froid. Cette séparation violente, comme celle d'un cœur à un corps, m'avais emmener dans une dépression sévère, mon cœur battais par de fin mouvement irrégulier et lent, mes jambes quand à elles marchaient, elles avançaient, sans se soucier d'où j'allais, mes mains glacés et rouge, par le froid sillonnant mes pas, seul les tremblements fin de celles ci me rappelais qu'elles étaient bien là. Je devais marcher depuis une éternité, car le soleil s'était bien déplacé. Le bruit des voitures lancées à grande vitesse pouvais m'indiquer que j'étais sur le Périphérique, je ne savais ou j'allais, mais à croire mes jambes, j'entretenais une marche pour allez à un lieu précis. Mon inconscience, plus rapide que ma conscience... m'emmenais là ou j'aimerais aller. La seule question était ou voulais-je allez ? Je sentis un rapprochement à moi, je tournais la tête vers se sentiments d'approche... mes pieds se stoppèrent, l'aéroport ...c'était donc là ?! là ou je voulais tant allez ? pour faire quoi ? Allez au Pérou ?! déprimer et m'enfermer dans ma chambre et s'abstenir de manger ? non.. La France, voir la famille de Lilly qui ne comprendra en rien à mon malheur? non... Autre pays, que je n'ai jamais visiter et ou je ne trouverais personne qui pourrait retirer se couteau qui entaillait mon cœur ? non... Je me rappelais d'une phrase de mon père, quand à l'age de mes 8 ou 9 ans m'avait dit -> On a plusieurs étapes dans une vie, mais toute mènent à un seul but le bonheur, à toi de trouver les étapes <- Justement j'avais chercher ses étapes pendant Bon dieu un moments, jusqu'à aujourd'hui, mais j'avais beau avoir essayer, avoir lutter, mettre acharner ; le bonheur n'était toujours pas de la partie, était ce vrai ? était ce vrai, qu'au ciel aucun malheur nous attends ? que la liberté d'esprit et de l'être nous trône là haut ? Serais-je judicieux, de le découvrir par soit même ? A ce moments précis, ma tête calculai en quelques secondes ou minutes, ma fin, celle qui peut être par bonheur pouvais m'emmener à un endroit saint.

Je tirais la somme maximal du distributeur de billet et pris un billet. J’avais par inconscience demander pour Sidney. Ma tête était vide, j’avais comme oublier tout, on m’aurait demander mon prénom, il m’aurait fallut un temps sérieux pour y répondre. Arrivai les bonnes heures de voles … le bruit des gens, était plus ou moins silencieux mais il résonnait dans ma tête créant des phrases des mots, j’entendais des voix, des voix me guidant vers des endroits précis… ce moment ci me rappelai le pire état que j’avais répéter dans ma vie, celui qui frappe quand la souffrance devient trop important : le suicide. Le suicide n'est pas un choix, on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face.

Arriva Sidney, je pris un bus, pour me rendre dans la ville de Jordan (toujours inconsciemment). Les bruits des gens créent, un bourdonnement horrible dans ma tête … Il m’était d’une difficulté insensé de ne pas courir pour sortir de se bus. Quand j’y arrivais c’était le matin le lendemain matin, le voyage avion/bus m’avais duré une journée aprèm/nuit entière. Il devait être vraiment tôt car personne n’était dehors pratiquement. Il faisait déjà très chaud, je retirais mon manteau que j’avais garder tout le long du voyage. J’arrivais sur les bords de plage. Je retirais évidements mes chaussures à talons. Même si le monde était peu présent, j’entends toujours des voix … des voix… a répétition, j’avançais sur une avancée en bois sur l’eau, je lâchais ma veste et mes chaussures, et m’empourprai dans l’eau. Le silence et le repos se créa dans ma tête, aucun bruit, aucune voix, ne se manifestai…à bout de force j’arriva quand même a avançai sous l’eau, j’avais essayer de me transformer, impossible, trop faible, j’avançais dans l’eau au multiple couleurs remontant à la surface pour quelques fois respirer … j’avançais, j’avançais, un point blanc se formait au loin devant moi, je remontais à la surface, je regardais autour de moi, j’étais loin très loin de la plage, j’étais au près d’un pic de rocher … les vagues m’avaient balancées jusqu'à elles, une vague m’entraînai contre un rocher qui me griffa la peau laissant du sang couler, bizarrement la souffrance physique m’étais douce comparer à celle que j’éprouvais en moi. Je replongeais sous l’eau, la tache blanche avait comme grossit, je l’a fixai ,fixai quand je compris, que ce n’était pas qu’une simple tache, mais que celle ci bougeai et se déplaçais assez rapidement, je comprenais ce que c’était quand le point blanc devins légèrement grisé, quand je vis surtout la tête du requin blanc, je ne pouvais me transformer, et de même j’en avais aucune envie, était ce ma fin ? vraiment ? quand je le vis au plus près de moi mes yeux dans ses yeux, par réflexe d’humaine je reculais, mais percutais le rocher, par cause d’une vague qui m’avait pousser au près de celui ci … je perdis conscience.

C’est ma vie par l’envers que j’observais sous mes yeux, toute image qui m’avais marquée plus ou moins. Elle s’aboutit à une image qui m’avait été gravée en moi

« mon père : Je t’aime, camélia et je serais toujours là, même si on est fâchés, même si on s’entends plus, sache que je serais toujours l’homme qui restera toujours au près de toi «

et c’est par l’image de mon père que tout s’éteignis en moi ….. (ou pas)

HOPITAL DERBY

Un medecin appela au numéro de téléphone de Jordan Delgado retrouver dans le téléphone de la jeune femme "doloress"


car justement ce medecin avait été l'annonciateur de la mort du jeune homme Delgado, il connaissait donc la famille

il attendait que ça réponde

Je sortis mon portable qui vibrait, l'hôpitale m'apellais pourquoi dont ?

- Oui Allô ?

Hein, mais elle est à New York, j'y comprenais plus rien

- Oui je la connais, pourquoi ? Qu'est ce qu'elle a ?

Elle voulait me faire du mal, elle avait reussi

- Je viens, à tout de suite j'arrive

Je pris mes clés et empreinta la voiture de mon père pour aller à l'hôpitale
et arrivais à l'accueil

- Ou je peux trouver monsieur Arman ?

Il arrivait au près de jordan

Arman : Bonjour Jordan, désoler de se retrouver dans se genre de situation

Je mordi ma lèvre inférieur

- Pourquoi elle a fait ça, je lui avais dit de ne pas approcher les requins blancs ? Désolé je me parle à moi même, elle l'a fait exprès ou quoi

Il notait sur une feuille

- Elle, d'après ce que vous me dite aurait des tendances suicidaires... d'accord

un medecin-chirurgien : Arman, c'est fini pour elle...

Il regardait jordan et ensuite arman

arman : dans quel sens patrick ... c'est un proche de la victime...

medecin : O scuse ! les 3h 32 d'opération m'ont épuiser, j'ai fini avec elle dans le sens l'opération est finit est reussi

arman levais les yeux en l'air

medecin : par contre elle est dans le coma

- Super merci j'adore toujours autant les médecins

Je levais les yeux en l'air et souffla

- je peux aller la voir ?

Medecin : tout doux ! elle est même pas encore sortit du bloque ! et ils la lavent elle était pleine de sang !, c'ets pas super hygiénique

arman : PATRICK mer** ! va te reposer

medecin : ouai ...


il partait

- J'ai pas besoin de détail comme ça !

Je m'assis

- Je vais attendre