J'étais dans la rue, quand mon portable sonna ... numéro inconnu, je répondais... C'est là quand 1 seconde, mon cœur fut état de poussière, que l'horloge de mon temps s' arrêtais, que ma vue restait aveugle, que mon ouïe, fut bruler ... Ma vie perdait tout d'un coup son équilibre... Le téléphone à la main, je réceptionnais tout ce que mon beau père me disait, qui se trouvais en France .... j'avais beau avoir réceptionner le malheur... je ne l'avalais pas, mon téléphone tombait au sol, le seul bruit que j'observais était ma respiration et mon cœur, mes oreilles étaient sourdes de tout autre bruit....

J'étais chez moi, j'avais entendu quelqu'un entré, sûrement Lilly. J'avais besoin de la voir pour lui demander quelques chose, je devais donc la voir. Même si l'idée de la dérangé pour cela me gênais. Je n'avais pas oublié la douleur dans mon coeur. Celle qui à chaque me rappelais mon amour perdu. Celui que je ne pourrai retrouver. Je le savais, même si je rencontrai une autre femme, elle ne pourra jamais prendre plus de place que ce qu'avait été pour moi Lilly.

Je pris mes clefs, sortis de mon appartement et le fermait. Je prévoyais d'aller faire des courses après l'avoir vu.

Aucune réponse. Je regardais autour de moi. Elle était là je l'avais entendu. J'entrais dans sa chambre, mais il n'y avais personne. Je vis une porte ouverte, ne distinguais pas de quelle pièce il s'agissait.

J'entrai et ce vu le choc. Je lâchais tout ce que j'avais sur moi, entrais dans la baignoire et enlevais le corps inerte de Lilly. Ce n'était pas possible je rêvais, Lilly n'aurai jamais fais ça, elle aimait bien trop la vie, sa fille, ses amies pour tout quitter. Mais je sentais l'eau fraîche qui mouillait mes vêtements, je sentais le poids du corps de Lilly, certes elle était légère mais je la sentais. Je la porta et la déposa au sol, l'appelant, le demandant une réponse. Elle ne respirai plus, je pris mon portable appelais les urgences, mettant le haut parleur pour commencer le massage cardiaque. J'enlevais son chemisier et ses sous vetement pour l'aider à respire la couvrant tout de même d'une serviette pour qu'elle ne prenne pas froid. Une main sur son menton inclinai sa tête, l'autre lui bouchais le nez, je souffla trois fois, puis, posant mes mains sur son torse appuyais le nombre de fois suffisant. Je ne cessais pas de lui parler. Mes yeux se remplir de larme à l'idée de pouvoir la perdre. Je préférai une vie entière sans elle a mes cotés mais pas une vie sans elle sur terre. Je me sacrifierai pour elle, même si mon amour n'était plus partagé.

Voyant qu'elle réagissais enfin, je fis comme on nous apprend, dans une rapidité. A genoux à sa gauche, je pris sa main droite a plat, lui plaçait sur son oreille gauche. Levai son genoux droit pour m'aider à la mettre sur le coté, elle rejettais encore de l'eau :

Je la portant et la mis sur son lit, la gardant sur moi, je ne voulais pas la lacher, elle m'était bien trop chere... Même si je ne devais pas... Pourquoi m'était-il si dur de la laisser ? De ne plus penser à elle ? De revivre ma vie d'avant ? Je comprenais peu à peu, je l'aimais plus que tout, ma propre vie. Elle m'avait changé, je ne pouvais l'ignoré, j'étais un nouvel homme grace à elle. Elle m'avait offert le plus beau cadeau que je puisse imaginé...

J'essayais de controler ma voix pou ne pas qu'elle sache que moi aussi je pleurai, j'étais encore sous le "choc" à la vue de la femme que j'aimais inerte dans de l'eau gelé.