Je souris a son baiser me retenant pour lui poser une question mais pris un jus d'orange.
Fais attention ton ennemis juré .
et devine ce qu'il ya en dessous du chariot.

Je ris lorsqu'il parla du jus d'orange :

- Non je ne sais pas de la chantilly ?

J'aurais aimé ,mais il y a tout aussi bien.
Ta robe repasser et plié pour toi .
Je lui souris.

Oh ils sont gentil je vais la mettre pour repartir

- pourquoi derrière ?

Je lui souris. J'étais bien avec lui. J'avais l'impression que rien d'autre ne comptais a par lui. C'était lui et seulement lui. Ses paroles me touchais et me faisais me sentir bien. Ses gestes était si doux. Je l'aimais, j'en était sur. Kaitlin avait raison, bien que pour… enfin bref. Je me demandais a présent comment j'avais pu douter. Douter de mes sentiments envers lui qui étaient intenses, forts et pensées. Mais aussi douter de lui et de ce qu'il avait fait qui en fait n'était que pur méchanceté et vengeance.

Je l'imaginais dans quelques année. Sera-t-il encore avec moi ? Cette pensée me pinça le cœur. Je ne voulais pas qu'une autre prenne ma place. Et je décidais de tout faire pour rester à ses cotés aussi longtemps qu'il voudra de moi. Oui voilà et même plus il devra me supporter toute sa vie et plus encore.

Je le regardais manger sa deuxième moitié de croissant. Il était beau même au réveil il était magnifique. C'est la que je me questionna si c'était mon cas. Je passais ma main dans mes cheveux essayant de les coiffer. Je me levais trouvais sa chemise que je mis et allais dans la salle de bain pour me démaquiller passer un coup d'eau remaquiller légèrement puis revient et pris un verre de jus d'orange faisant attention de ne pas faire de gaffe.

J'avais une envie d’être et/ou de devenir la petite amie idéale que tout le monde veux. Comme on voit dans les film une femme forte mais si sensible. Une femme belle et qui ne le sais pas mais l'assume. Une fille brillante mais qui ne rabaisse pas les autres. Une femme qui n'a pas de dispute ou rarement. Une femme qui arrive a combler son homme pendant des années.

Je me remis à cote de lui posant ma tête doucement sur son épaule. Regardant ce qu'il faisait. Admirant ses gestes. Je posais ma main sur sa cuisse la caressant sous la couette du lit. Un lit très confortable moelleux et ferme a la fois un mélange parfait. Des draps de soie si doux et si lisse qu'on pourrai glisser dessus. Bref un merveilleux matelas et un lit immense.

Combien ce luxe allait il lui couter ? Sûrement très cher oui. J'en avait presque honte après tout il n'était pas obligé. Il avait de l'argent je le savais mais autant qu'il le dépense pour lui. Un motel aurai été. Avec lui dans la pièce l'endroit devenait tout de suite agréable, magnifique, chaleureux. L'idée du motel me plus. Comme dans les série ou les amants se cachent.

Cette pensée m'apporta des questions. La presse allait faire étalage de notre vie privée après tout nous étions tout deux du show-bizz. Ma plus grande crainte était les rumeurs. Était-il du genre a les écouter ou ni prêtait il pas la moindre attention. Je pencherai pour la seconde proposition. Les magazine qu'il lisait devait être de musique. Les magasines people n'étaient pas son genre.

Je posais ma main sur la joue la moins proche de moi pour amener ses lèvres à moi et l'embrasser délicatement sur ses lèvres qui me donnais envie depuis bien trop longtemps.

Je finissais de manger mon second croissant quand elle se leva et partit sans prévenir vers la salle de bain ,en faisant cependant un arrêt devant mes affaires pour prendre ma chemise et m'éviter de la reluquer ,puis elle disparu dans l'ombre de la salle de bain elle aussi encore endormi ,qu’elle réveilla en allumant la lumière et à partir de ce moment je n'entendis aucun bruits ,à part peut être l'eau qui coule .

En parlant de mes vêtements,j'allais sortir de l’hôtel dans cette tenue ? en costume ,sur mon 31 ,en pleine journée ?! j'aime me taper l'affiche,mais je pense que là sa serait trop ... je mettrais qu'un peignoir ou la chemise sa suffira.

Je restais allonger ,regardant tout de même un œil sur la salle de bain attendant qu'elle revienne,n'entendant toujours pas l'eau de la douche ou du bain couler,mais seulement celui du lavabo . Je mangeais un beignet au chocolat avec un verre de jus d'orange pensant et réalisant la soirée d'hier ,qui fut fantasmique .
Un dîner extraordinaire ,il ne manquait que les chandelles ,sinon tout avait été parfait pour moi ,et j’espère pour elle ,même si c'est elle qui m'a invité ,je voulais que tout soit parfais .
Après quoi ,une soirée ,une nuit ! d'amour ! physique au rendez vous et sentiments formant une extase ,une bulle , un monde entier se créant que pour nous deux ,rien ni personnes n'aurait pu nous arrêter hier , nous nous étions livré l'un à l'autre et offert nos corps à chacun et parlé de longues heures.

Je me sentais bien ,pour faire faible et comparable , je me sentais libre et surhumain avec elle ,je me sentais capable de tout ,tout surmonter ,elle parlait de magazine,la presse ,la télé ...ce n'était pas un problème ,elle était là ,ce la me suffisait .
Et quand elle partait comme là à 15 mètres,je m'ennuyais d'elle ,cette femme ,cette jeune et belle femme je l'ai dans la peau ,un soir avec elle ? et vous la voulez à vie .
A vie ? ma vie avec elle ? je voulais pas prévoir ... mais avec elle ,je m'imaginais bien dans quelques mois fêter nos 6 ou 12 mois ensembles,au même endroit , en voyage ...
2, 5 , 10 ans en semble si ce n'est plus ,oui ,sans aucuns doute ,mais le temps nous le dira,mais je lui forcerai la main .

Elle fini par revenir peu de temps après encore plus belle , légèrement maquillé ,que j’adorais sans en faire trop ni pas assez , et recoiffé ,alors qu'elle était très bien avant.
Elle s'empara de mes lèvres que je lui laissa s'en trop de résistance .

-Tu as fais quoi? et pourquoi ma chemise?

Alysson Brooks, un roman ,une femme ,ma vie , mon amour pour elle et sa passion coulais dans mes veines . nous avions même parlé mariage ... enfants ,sur le ton de la plaisanteries par moment ,et elle n'avait pas tord ; Alysson Hietala n'allait pas ensemble.

Je quittai difficilement ses lèvres si douce. Il n'avait pas de don extraordinaire. Mais je me posais des questions. Un seul de ses baisers vous faisait tourner la tête, vous donnait l'impression d'exister, de vivre pleinement votre vie. Comment ne pas succomber au charme d'un homme si doué en amour. Il était fait pour la vie à deux j'en étais sur, après tout il avait réussis à mettre fidèle alors que nous n'étions même en couple. Nous n'étions que deux amis, un connaissais ses sentiments mais avait parfois du mal à les exprimer par des mots. L'autre ne voulait pas ressentir ce qu'il ressentais. Pourquoi ? Par peur d'avoir à nouveau une peine de cœur et faire souffrir quelqu'un. Et je ne voulais pas que lui souffre, jamais. Il ne le mérite pas, quoi qu'il dise quoi qu'il fasse il mérite le meilleur. Et si, il s'avert qu'il s'agit d'une vie sans moi, et bien je partirai mais pour l'instant je comptai bien rester avec lui.

Je trouvais ça tellement agréable d'avoir autant de complicité, de pouvoir parler de tout et de rien avec lui sans que cela ne prenne des allures étranges ou spéciales. On discutait toujours beaucoup et je ne m'en lassais pas. La nuit lorsqu'on parlait de choses plus ou moins profonde et sérieuse, je ne voulais fermer les yeux et quitter cette instant. Je ne voulais pas penser qu'il devienne passé. Comme beaucoup de moment. Je ne voulais pas que cette soirée s'arrête, que cette journée s'arrête, et qu'un jour, cette vie s'arrête. Je le voulais lui seul pour toute ma vie. En cette instant c'était lui et rien que lui qui comptais.

Je me voyais déjà faire des compromis avec lui, je lui laisserai surement passer beaucoup de chose. Comme avec mon premier amour. Mais sans me rendre pour autant aveugle. Et puis aimer, c'est accepté les points de vus de l'autre, les accepté et les personnalisé avec les nôtres, pas vrai ?

Je le regardais lorsqu'il posa ses questions :

- Je pensais que cela était assez visible, j’eus un léger rire qui ne fut qu'à peine audible. Je veux essayer d'être parfaite pour toi. Car excuse moi mais toi au réveil tu es canon et plus encore. Ton petit air endormis, tes yeux plus bleu que jamais, tes cheveux décoiffé qui pourtant, donne l'impression d'avoir été guidé dans le sommeil. Tu es beau simplement et sans artifice. Je veux être a ta hauteur mais moi il me faut de l'eau, du démaquillant et du maquillage pour essayer de t'arriver ne serai-ce qu'à la cheville.

Je déposais à nouveau un baiser sur ses lèvres, juste un contact sur ses lèvres, et pourtant se fut pour moi électrique, oui, comme une agréable décharge qui vous parcours le corps entier :

- Et ta chemise, je m'excuse de te la "squatter", c'est parce que me trimbaler nu dans une chambre d’hôtel n'est pas trop mon truc. Et puis, si à nouveau, quelqu'un de l’hôtel entre, je veux pouvoir le saluer plutôt que rester cloitré dans la salle de bain. Et je sais ce que tu te dis : « Pourquoi pense-t-elle ça je l'ai déjà vu nu ! ». Mais on efface pas 18 ans de critique sur la personnalité et le physique d'une fille en un claquement de doigts. Même si je m'en fichais de ce que ces personnes pensaient, j'ai commencé à y croire et c'est surement grâce à ça et à Matt et Taylor que j'ai pu tenir aussi longtemps sans en avoir à avoir à faire. Il me faudra encore du temps pour m'accepter entièrement. Et c'est pour ça que je suis dans une agence de mannequin. Parce que grâce à elle j'ai réellement l'impression d'être jolie et même parfois plus. Car c'est gens se paye mes services, on ne se connait pas toujours mais il me veulent moi pour mon corps.

Sortis de leur contexte mes paroles aurait pu prêter à confusion, mais c'était ça le rôle d'un mannequin, vendre son corps et le faire diriger par des photographe, des créateurs de modes. Ils n'étaient pas obligé de me prendre mais le faisait. Alors que James lui pouvait être aveuglé par son amour pour moi, et/ou il n'était pas un homme "physique" il n'aimait pas une personne pour son apparence j'en était sur :

- Mes réponses conviennent-elle au formidable homme que tu es ?

- C'est visible, mais tu peux avoir fais autre chose que te maquiller et te remettre les cheveux en place.

Je caressais toujours son dos, faisant de long et attention va et viens le long de son dos, allant de son cou à son bassin, ne me lassant pas de la toucher d'elle, je voulais vraiment la connaître par cœur.

-Moi parfait ? Et dès le matin ? Tu parles de l'homme en face de toi ? Et toi ,tes yeux bleus avec tes cheveux blonds, me rendent dépendant à toi, je n'ai jamais vu mon bleu, mais le tiens est sans aucun doute meilleure. Maquillé ou non, je sais qui tu es et tu reste la plus belle à mes yeux, si bleu comme tu dis.

Je lui souris et la regardais,bougeant mes yeux pour regarder chaque traits de son visage.

- Et le naturel te vas très bien ma chérie ,ne te compare pas et surtout ne te sous estime pas, et puis sinon je ne serais pas avec toi, tu es magnifique, tu devrais te voir.

Nous nous embrassions, elle avais pris les devant, mais je l'aurais fais de toute façon quelques instants après elle, elle savait quoi faire avec moi, comment me rendre heureux, me faire sourire, me faire passer mes mauvaises humeurs... Elle me donnait enfin une vraie raison de me lever d'aller bosser trouver l'inspiration et de rester un mec bien .

Notre baiser prenait fin,mais il avait été comme chacun qu'on avait partagé, sincère, passionné et surtout pour elle, expert ; et cette fois ci avec un arrière gout pas désagréable de croissant ,ce qui me fit sourire et la regarda quand elle parlait, l'écoutant, buvant ses paroles.

- C'était pas un reproche, je te demandais juste pourquoi, elle te va comme une robe en plus, et c'est du sur mesure. Mais je ne veux pas te faire changer, je te veux comme tu es, je t'aime comme ça, j'essaye juste de comprendre certains aspects de ta personnalité,pas forcément de les changer, ce n'est pas mon but, je veux te connaître par cœur, tout savoir, te comprendre, t'aimer encore plus. Pour ce qui est d'être mannequin ,si sa te prouve que tu es belle continue, mais sache juste que ton homme te trouves attirante, très mignonne à regarder et à écouter.

J'oubliais le petit déjeuner, tout ce qui nous entourait, le soleil réchauffant peut à peu nos peaux et éblouissaient mes yeux, mais pas autant que de la voir contre moi au petit matin.

- Je suis formidable ,et tu es irremplaçable .

Je l'écoutais parler, assembler des mots pour en faire des phrases. C'était agréable de parler avec quelqu'un qui avait de la discussion. Il n'avait pas été au bout de ses études et pourtant, pour moi il me paraissait plus instruit que bon nombre d'entre nous. Comme quoi la culture se cultive grâce à de la lecture, des voyages mais aussi l'expérience personnel. Peut être son age était la raison. Il était tout de même pas mal plus vieux que moi en y réfléchissant... Cela me fis sourire, ce n'était pourtant pas mon genre, généralement ils avaient quelques années de moins que James.

Je dois dire qu'il était le seul de mes petits amis à être si instruit et avec qui j'avais plaisir à conversé, avec qui j'avais autant de plaisir. Parler avec lui était comme normal. Oui normal rien d'autre simple. Je n'avais pas peur de ce que je pouvais dire. Peu de chose le contrariais.

- Oui toi, tu es aussi parfait physiquement qu'intellectuellement. Crois moi, en plus t'es cheveux et ton teins font ressortir tes yeux que tu peux voir dans le miroir mais toi tu ne peux voir les regards que tu poses sur moi. Ils sont si... Agréable.

Tout en parlant de ses yeux je m'approchais de son visage, regardant ses yeux chacun leurs tours :

- Tu es le seul qui arrive en un regard à réchauffer mon corps et me faire connaitre des sensation que les autres n'ont jamais réussis à me faire connaitre. Ou alors avec des gestes.

Je caressais sa joue et posais mon regard sur ses lèvres :

- Tu ne m'aimes pas que pour mon physique. Alors ma "beauté" n'a rien à voir, peut être que cela ajoute mais logiquement... Enfin bien que tu sois magnifique je ne t'aime pas pour ton physique mais pour ta façons de penser. Tu sais tu es un homme qui est une vrai pipelette mais qui ne parle pas pour ne rien dire. J'adore parler avec toi et c'est peut être ça qui fait que je me sens si bien avec toi. J'ai pas l'impression que c'est que physique ou bien qu'on parle pour s'occuper. Et mon amour, je ne penserai jamais que tu me faisais un reproche tu n'es pas comme ça. Je te connais un minimum pour le savoir. Et puis tu dis ce que tu penses sans vraiment avoir peur de la réponse, ou alors arrête moi si je me trompe !

Je lui souris et posais mes lèvres sur les siennes, avec douceur, lentement sans être brusque juste une envie en se moment intime ou nous échangions des paroles plutôt profonde et pensée. Je voulais juste rester dans cette ambiance sans me donner envie d'aller plus loin avec lui.

C'était véritablement la première fois pour moi qu'une femme ,si jeune soit elle,à peine quatre ans ,mais qui ne se sentait finalement pas , nous étions sur la même longueur d'onde ,nous pensions pareil ou presque et sans nous forcer ou pour faire plaisir à l'autre .
Je me sentais tellement bien avec elle ,le temps s’écoulait trop rapidement et si la fatigue n'existais pas ,nous aurions passées des nuits entières à parler comme la vieille ,de choses peu importante,nos projets ,de tout et de rien ,mais toujours sans complexe.

Chaque phrase ,chaque mot que se soit d'amour ou pour d'autres sujets je les mémorisaient dans mon esprits ,comme si ils étaient uniques et que je devaient m'en nourrir .

Elle me complimentais ,me mettais sur un pied d'estal ,qui n'était pas le miens mais sans aucun le doute siens ,elle me disais parfait,des yeux profond et bleu ,mais autant physiquement que intellectuellement elle valait mieux que moi, jeune, belle, doué, et me prenait pour meilleure qu'elle, une grand marque de modestie que seul les gens ... ce genre de personnalité pouvaient en faire preuve, alors que c'était elle la plus méritante, elle a tout pour plaire, je lui disait souvent mais ne prenait pas au sérieux ou me répétait sans cesse que j'étais mieux qu'elle, je la laissais faire à la fin.
Pourquoi? parce que ça lui fais plaisir ,et quand elle est heureuse et tout ce qui lui fais plaisir je lui laisse ,car quand une femme est heureuse c'est le meilleur cadeau pour un homme.

Alysson était mon cadeau, chaque jour était noël, mon anniversaire avec elle ,même quand je n'étais pas avec elle, quand je la voyais je m'en rendais compte, que c'était une femme pleine de richesses . Même si c'était encore très tôt pour y penser ,je voyais de plus en plus Alysson et moi formant un Nous pour longtemps, le plus possible ,je la connaissais depuis longtemps cela me permettait d'assumer me sentiments et de savoir où je voulais aller et avec qui.

-Mes regards sont remplis d'amours et en en sont chargés depuis des semaines.

J'avais pensé tout haut, mais tantpis c'est ce que je pensais, autant tout lui dire,je ne voulais rien lui cacher,tout lui confier, mes craintes, mes peurs, mon amour, mes envies ,tout.
Je pensais à tout,imaginais des moments avec elle, peut être notre futur,si il durait longtemps ,tout en l'écoutant ,et la une phrase résonna dans ma tête.

*Tu es le seul qui arrive en un regard à réchauffer mon corps et me faire connaitre des sensation que les autres n'ont jamais réussis à me faire connaitre. Ou alors avec des gestes.*

La plus belle phrase que l'on ai pu me dire,sincère et pas appris par cœur ou autre subterfuge sentimentale.
Je lui souris très heureux et versa une vraie larme intense de joie.

Je ne disais rien même si l'envie ne m'en manquais pas, de lui répondre après ce long moment qu'elle occupa à m'expliqua plusieurs chose qu'elle ressentait sur moi au niveau des sentiments et non physique ou un mélange ... mais je ne pu rien dire,juste profiter de son regard proche du miens, de ses si belles lèvres qui prononçait des mots telles des notes ,en harmonie .

Je ne sais pas comment elle pris ce silence ou peut être cette absence mais quand elle fini de parler, elle pris mes lèvres avec douceur que je lui rendis avec tendresse l'embrassant avec passion, non pas de désir ou d'ardeur charnel ,mais une passion amoureuse .

Je quittais ses lèvres, ré-ouvrant les yeux sur son visage et y remarqua une larme. Oh ! C'était trop mignon. Je lui souris tendrement et embrassai cette larme qui perlait son visage, sa joue. Un homme qui verse une larme pour quelques mots pensées, c'était magnifique. Il l'était. Comment ne pas succomber à son charme ? Comment ne pas vouloir être près de lui tous les jours, lui parler. C'est là que je me posa d'autres questions. Quand je serai en tournage ou que lui sera en tournée comment allions-nous faire ? Je ne me sentais réellement pas capable de vivre une journée sans lui.

Mon expression changea, cette pensée m'attristais. Car certes les téléphones existe mais je ne pourrai le voir, la webcam existe mais je ne pourrai le toucher. Sentir la chaleur de son corps, la lumière sur son visage. Son regard sur moi. Et si cela durai des mois... Des mois sans se voir... Serions nous en manque d'amour et d'affection ? Est-ce que cela pourrait-entrainer des flirtes avec d'autre personnes ? Après tout, il avait des groupies et surement plus jolies les unes que les autres. Et elles, contrairement à moi avait une même vision de la vie qui correspondais à James. Ils aimaient le même style de musique et tout le monde sait que la musique est l'expression de ce que nous sommes. On se reconnait toujours dans une musique ou des paroles.

Je baissais mon regard, et si les rumeurs continuel de ma vie privé entrainais des disputes et peut être pire une rupture... A chacune de mes sorties avec un garçon et encore plus encore avec Matt, on disait que j'avais un nouveau petit ami. Or une femme peut avoir des amis hommes. L'amitié est possible. Après tout, avant d'être mon petit ami James était mon ami. Je reposais mon regard sur lui et souris. Peut être que c'est ça qui fait qu'on s'entend si bien. Parce qu'on est pas seulement un couple, on est aussi des amis. Notre force peut être. Surement. Je l'espérais. Même si ma première relation était similaire, Taylor n'avait pas eu d'autre aventure avant moi. De plus, il avait énormément changer, sans doute le passage à l'age plus adulte. James lui avait déjà dépassé se stade et les triangles amoureux n'était pas son genre. Il était stable. Et sa fidélité envers moi me le prouvait.

Tout ça me rassurai. Me rendais plus confiante sur nous deux. Je ne doutais pas de notre "Nous" mais simplement des peurs, des craintes. Néanmoins pour rien au monde je ne le laisserai tomber en cette instant. Je l'aimais bien trop et notre soirée avait été bien trop parfaite pour être gâcher à cause d'une imagination débordante.

- Alors, as-tu décidé d'un programme pour continuer se séjour sans imperfection ?

Je revenais à la réalité,où nous étions ,ce que nous faisions là ,le petit déjeuner...
je savourais son visage,la vue que j'avais ,silencieusement puis répondais à sa question.

Une petite visite de la ville ,sur un bateau? un cinéma en néerlandais?

Je caressais sa taille nue ,elle face à moi ,nos têtes contre les oreillers à nous regarder ,se contempler quand l'un parlais l'autre l'écoutais,sans se couper la parole sans chercher à contredire, un délice .
Cette femme ,pas le petit déjeuner.

Un plongeon dans ma piscine ça te dis ?

J'essuyais ma larme et bu une gorgé de jus d'orange puis le mis par terre.

Tu y as pas penser? toujours prendre un maillot de bain .
Surtout quand tu viens chez moi.

Je lui souriais .

Ou alors tu en met pas ,et j'en mettrais pas.

Je ris légèrement en lui caressant le buste et pris une viennoiserie et la mangea.

- J'ai fais mes valises en deux deux. Désolée. La piscine est chez toi ?

J'utilisais mon don pour prendre une viennoiserie, pain aux raisins. Pas mauvais du tout je dirai même délicieux.

Si c'est pour avoir ensuite une belle femme dans un beau maillot de bain ,je veux bien sacrifier une heure de mon temps,plus ou moins.

Je lui souris en mangeant le gateau.

Et non comme j'ai fais moi même quelques photos et pour les concerts,je dois faire aussi des achats,ou commandes ...donc je suis habitué ,et puis avec toi il n'y a rien d'embetant .

Je lui souris l'imaginant acheter des vêtements :

- Ok alors je veux bien mais ça prendra pas longtemps.