Il venait d'enlever son haut et je pouvais voir son torse nu, blanc et peu musclé :

Je m'approchais doucement et déposais un baiser sur ses lèvres, puis descendis sur son cou, ses pectoraux, ses abdos', mais m'arrêtais là.

Je me mis à califourchon, et détachais ma queue faite à la va vite, et secouais la tête pour qu'ils se mettent bien. Je " re-plongeais " pour l'embrasser.

Nos lèvres avaient le même rytmes, c'était agréable d'être avec une personne avec qui on est si bien, que sa seule présence suffit à notre bonheur, que son parfun vous fais tourner la tête, que ses baisers vous font chavirer, presque évanouir de plaisir. Que le simple toucher de sa peau vous réchaufe mais en même temps vous donne des frissons, vous excite comme une petit fille devant un magasin de jouais. Comme un droguer qui veux sa dose d'héroïne. Oui Taylor était pour moi comme ma drogue, j'en avais besoin et ne reussissais pas à le quitter ou même simplement l'envisager.

Je lui retirais son " pantalon ", après quoi lui, m'enlevais mon t-shirt. Nos lèvres c'étaient quitté pendant quelques seconde et pourtant j'avais l'impression que cela faisait une éternité.